mercredi 9 mars 2011

Au Québec, des grands espaces au bedon rebondi, il n’y a que l’intervalle de quelques poutines et autres pâtés chinois.

 

 

L'immigration ça vous change un homme. Une pelletée de dossiers, de bouquins, de blogues, tous ceux-ci, bien renseignés sur la question, vous le diront. 

Les sites sur l’immigration sont pour le moins nombreux. Concernant ceux qui évoquent le Québec, le terme pléthore ne  semble pas exagéré. Une mine de renseignements parfois contradictoires. Inondés comme il se doit d’anecdotes en tout genre, en récits des plus abracabrantesques*.

Et de vrais requins aux aguets.

Il me semble qu’il manque un chapitre.

Je vais essayer de l’ajouter.
Prenons par exemple un échantillon masculin en bonne santé, au teint plutôt pâle par des années passées à se rendre au travail dans son véhicule derrière un autobus polluant, ayant une forte disposition à manger un steak-frite tous les midis.
Ajoutez évidemment le sourcil froncé signe de mauvaise humeur, et la patience en déclin.

Pour résumer, un parisien rêvant de grands espaces.

Ne voilà-t-il pas qu’une fois atterri à Québec, l’échantillon en question, tel un papillon sortant de sa chrysalide(?), se révèle un autre homme ? Le voilà passé de la fréquentation coutumière des petits bars du quartier Bastille à forte capacité potentielle de mixtures suspectes et de graines d’arachide frelatées, à celle des marchés et épiceries qui vous promettent une vie ‘’sans gras trans’’.

J’ai déjà évoqué la gastronomie Québécoise. Celle-ci vous change un homme..

J’ai du prendre 10kg. Paradoxal, non?

*Merci Chirac.

1 commentaire:

  1. Meuh non c'est l'amour... Tu t'epanouis !

    Allez un peu de sport (que je ne fais pas),un peu de diete (la margharita diet je te conseille) et dans un an, Hop 10 kilos de plus....

    Miseeeeeeeeere !

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